05 janvier 2006

J'aime la galette

Et voilà. J'ai attendu près d'une semaine pour me décider à profiter enfin de cette nouvelle occupation récréative et on me dit que c'est l'heure de la galette. Il faut savoir que, bien que complètement en phase avec mon temps, je n'ai pas internet chez moi. Mais ce qui est bien avec le travail, c'est que ça offre certains avantages pratiques, comme un ordinateur avec une connection sur le monde à l'intérieur. Il va donc falloir profiter des pauses ludiques que je m'accorde volontairement, entre une relecture ortho-typographique du dossier des études économiques d'un projet de canal à grand gabarit (c'est passionnant) et un coup de fil avec le client qui aimerait savoir si je peux venir à la réunion vendredi soir à partir de 19h30, pour poster des messages dans cette boîte. C'est le moment idéal pour ce genre d'intermède, sauf que là il faut que j'aille manger la galette et boire le crémant d'alsace. Alors j'y vais.

Et ben j'te le donne en mille : j'ai eu la fève. Ca me fait plaisir. Je ne suis pas superstitieuse, mais je crois en la chance. Et pourtant j'avais pris soin de couper une part en deux (je me servais une seconde fois et la gloutonnerie, c'est un truc à éviter en environnement professionnel), et mathématiquement, il me semble bien que ça limite les probabilités. Alors avec ma fève, posée là, fièrement, sur mon bureau, je me dis que décidément, je vais aimer 2006.